Tricheur ou génie au blackjack : découvrez l’histoire d’Edward O. Thorp

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De toute sa vie, Edward Thorp a toujours été passionné par la science. Déjà petit il tentait des expériences pour satisfaire son esprit. Combiné à un intellect élevé, sa curiosité et soif de découverte le conduit au succès qu’il connaît de nos jours. Un de ses fameux tests le rendit plus célèbre que les autres : sa méthode de comptage pour battre le croupier aux blackjacks.

Qui est Edward Oakley Thorp

Homme issu d’une famille modeste de Chicago, Edward affichait déjà un esprit scientifique. Son enfance était marquée par la solitude. Cela lui laisse le temps de répondre à sa curiosité de grandissante. Son intérêt pour la science devient évident, qu’il poursuivit des études en mathématiques et physiques à l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA). Une partie de ses études ont été même financées par une bourse grâce à un examen où il a eu la note la plus élevée. Il obtint des diplômes dans ces domaines : un Master de Physique et un Doctorat en Mathématiques de l’UCLA.

Il enseigna dans des universités durant une partie de sa vie (comme le MIT ou Massachusetts Institute of Technology) en tant que prof de finances et de mathématiques.

Son intérêt aux jeux de hasard

Dans la fin des années 50, il enseignait encore, mais sa nature vive et curieuse l’amène à continuer ses recherches. Lors d’un de ses voyages à Las Vegas que l’idée de créer une machine qui pourrait battre la roulette. Ce sera la première marche qui l’emmènera vers une renommée mondiale. Pourtant, le blackjack lui réussit mieux que la roulette (lien ici, http://www.torinoggi.it/2020/02/24/leggi-notizia/argomenti/economia-4/articolo/edward-o-thorp-da-vegas-a-wall-street.html).

En découvrant jeu du 21, il comprit qu’il pouvait mieux comprendre le blackjack que les joueurs et les maîtres du jeu. Il se rendit compte qu’il pouvait gagner contre le croupier grâce à une tactique déjà existante : le comptage des cartes. Il se pencha particulièrement sur le blackjack afin de peaufiner sa stratégie. Il perfectionna sa ruse avec un ordinateur central IBM pour ses calculs. Il rencontra un franc succès, car il réussit, mais il s’attira aussi le courroux des casinos. Edward était interdit d’entrée dans les salles, les casinotiers s’en assuraient. Alors pour pratiquer et expérimenter encore plus, il se déguisait pour y entrer. Des fois accompagné de quelques comparses pour déjouer la vigilance des établissements, il défiait les croupiers et il gagnait de grosses sommes en plus. Dès qu’il remportait assez pour se faire remarquer, il passait au suivant, et ainsi de suite.

En 1962, le livre « Beat the Dealer » fait une entrée très remarquée dans les ventes. « Battre le croupier » s’avère vite être le catalyseur qui offre la célébrité à Edward Thorp. Comme notre homme avait déjà quelques antécédents avec les casinotiers, cette publication provoqua une panique chez les établissements de jeux, car les stratégies et méthodes ont été prouvées effectives.

Les réactions consistaient de changer les règles. Le taux de gain habituel fut de 10 %, les casinos voient leurs chances descendre à 1 % (presque nulle). Les joueurs et les casinotiers ont trouvé un compromis : ajouter d’autres jeux de cartes dans le sabot. Donc au lieu de battre un seul jeu de 52 cartes, on pouvait jouer avec plusieurs (8 au maximum) pour tenter de fausser la tactique de comptage des cartes.

Eward Thorp s’est inspiré d’une méthode existant déjà vers la fin des années 50, par Robert Baldwin. Il l’a reprise et affinée. Cette constatation prête souvent à confusion, car Thorp a surtout contribué à faire connaitre la pratique, mais ne l’a pas créée. Ses talents au jeu de 21 a été reconnu qu’il figure au panthéon du Blackjack Hall of Fame au Barona Casino, à San Diego.




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